Publié le : 08 juillet 2019
par Chantal Lefebvre dans Architecture, Expositions, Histoire, Patrimoine, Religion | 4 commentaires
La mise en vente de l’église St Luke de Waterloo, seul immeuble patrimonial classé au niveau provincial sur le territoire de la MRC de La Haute-Yamaska, amène la communauté anglicane de Waterloo, tout comme l’ensemble des résidents de la ville et de la région, à se questionner sur l’avenir de ce temple magnifique. Afin de mieux faire connaître la valeur patrimoniale de cette église et aider au processus de réflexion collective, nous vous proposons ici un survol des éléments historiques et architecturaux qui la caractérisent.
Réalisation : Chantal Lefebvre et Cecilia Capocchi
Cliquer pour accéder à l’exposition
Bien dommage de donner au privé de tels beaux bâtiments, au surplus qu’il a été payé par les paroissiens, mais d’un autre côté, qui va payer pour l’entretien de telles bâtisses?
En espérant que le prochain propriétaire saura le garder le ton du bâtiment 😇
merci très intéressant
Bonjour.
J’encourage les gens de Waterloo et de la MRC a conserver ce témoin important du passé. Merci pour l’article et les photos anciennes.
Pierre Lachapelle fils de Monique Perras née à Waterloo en juillet 1917.
C’est à l’occasion d’une visite dans le comté de Shefford que le premier-ministre René Lévesque en personne a déclaré l’église St-Luke de Waterloo « immeuble patrimonial ». Pour avoir assisté personnellement au grand étonnement de M. Irving Slack, recteur de la communauté, qui n’en croyait pas ses yeux, à l’arrivée du personnel protocolaire et policier, fouillant son immeuble de fond-en-comble. Les journaux de l’époque ont couvert l’événement.
Deux waterlois, maintenant disparus, sont grandement responsables de cet événement: Messieurs John Porter et Claude Fréchette.